Ce que vous avez toujours voulu savoir sur Yvon Cavelier (2/2)

  • Ceci est la suite de l’interview d’Yvon Cavelier du blog copywriting-pratique.com qui a commencé ici.

    yvon cavelier

    Ok, reprenons.

    Alors quels sont les domaines chez toi, que tu aimerais améliorer, ou disons changer ? Y a-t-il un aspect de toi-même dont tu te méfies ?

    Je me méfie de ma tendance à voir la simplicité en toutes choses. Parce que je suis un gars très simple qui aime à voir les choses de la manière la plus simple qui soit (oui je sais j’ai écrit 3 fois « simple » ! Mais c’est pour que tout le monde comprenne bien !).

    Ca m’aide le plus souvent à démêler des problèmes qui semblent complexes, mais ça me coupe également d’autres activités qui demandent plus de complexité justement.

    En gros, je suis un fainéant.

    -Toi fainéant ? Surprenant ça…

    Je n’aime pas me prendre la tête. Et c’est de ça que je dois surtout me méfier. Car parfois, ça me met dans des situations plus que délicates.

    Donc si j’avais à changer quoi que ce soit chez moi… Arf… En fait je ne changerais rien du tout.

    Tu sais, changer une composante de sa personnalité, même si on estime que cela nous « nuit », c’est dangereux.

    Dangereux parce que toutes nos imperfections font de nous ce qu’on est. Et elles sont également ce qui nous permet de survivre.

    On connait tous cette bonne vieille question qui dit « Si tu pouvais changer UN évènement passé dans ta vie, quel serait-il ? ».

    La bonne réponse est « Aucun ». Parce que même le pire des évènements que l’on a eu à supporter est une des composantes qui a servi à forger notre caractère et de notre manière d’aborder la vie aujourd’hui.

    Sans ce fameux évènement, que serions-nous devenus ?

    Il en est de même, à mon avis, pour le changement d’une composante de notre personnalité. Au-delà du fait que c’est généralement long et douloureux (surtout quand on prend de l’âge), qui te dit que ce petit défaut que tu cherches à corriger ne contribue pas à faire de toi l’être formidable que tu es aujourd’hui ?

    Une amie très proche m’a dit un jour une phrase très belle que j’aime à sortir maintenant comme une sorte de leitmotiv visant à mieux me faire accepter ce que je suis :

    « De la faille nait l’émotion ».

    Voici comment je l’interprète : Personne n’est parfait. Tout le monde a des failles. Vouloir à tout prix « changer » et corriger ces failles est à mon sens une erreur. Il vaut mieux apprendre à composer avec.

    Donc à ta question « Quel domaine aimerais-tu changer chez toi ? » je répondrais : Aucun.

    Et plutôt que de se concentrer sur le verbe « changer », mieux vaut se focaliser sur le verbe « accepter ».

    Il m’a fallu 43 années pour le comprendre… et pour l’accepter !

    -Tu pratiques le sommeil polyphasique et tu dors seulement 3H par nuit, plus une sieste de 20 mn en milieu d’après midi. Ce depuis 12 ans.

    Comment as-tu mis en place un tel régime ? L’as-tu fait progressivement ? As-tu eu du mal à l’adopter au début ? Fais-tu tes 3H d’un coup ou les fractionnes-tu en plusieurs siestes ? Pareille organisation te pose-t-elle des problèmes sur le plan social ou familial ?

    Tout s’est mis en place naturellement. Parce que j’avais besoin de temps pour faire ce que je voulais faire.

    Et je me suis aperçu que mes cycles de sommeil étaient de 1 heure 30 précisément.

    Pour expliquer çà, j’aime bien prendre un exemple :

    Parfois, quand on se réveille le matin, on est carrément « dans le cirage ». On n’a pas envie de se lever, ni de manger, et encore moins d’aller bosser.

    D’autres matins, par contre, on a la grosse pêche. Et tout est facile.

    C’est parce qu’on a « brisé » un cycle de sommeil.

    Quand on se réveille juste après la fin d’un cycle, alors on a la pêche. Si on se réveille à l’intérieur, alors on est vaseux.

    Donc moi, quelle que soit l’heure à laquelle je me couche, je m’arrange toujours pour dormir X fois 1 heure 30, et je mets donc mon réveil en conséquence.

    Et le week-end, j’aime dormir « naturellement » entre 7 et 9 heures.

    Pour les soucis que provoque ce genre d’activité, il n’y en a pas, puisque justement, c’est flexible. Il suffit de savoir calculer. 😉

    Ca s’est mis en place progressivement, oui, de manière naturelle. Je n’ai d’ailleurs appris que très récemment que ceci avait un nom et qu’une « méthode » avait même vu le jour.

    Ca fait toujours bizarre de voir une personne tenter de « modéliser » un processus que tu utilises naturellement depuis des années.

    Ca permet notamment de se rendre compte que ce genre de méthode est tellement personnelle (car tous les paramètres changent en fonction de qui l’utilise) qu’elle est gravement inefficace si elle est suivie « en l’état ».

    J’ai entendu des inepties du genre « Un cycle de sommeil est de 20 minutes », et l’idéal est de dormir 8 heures par nuit (j’ai lu 7:30 dans un magazine).

    Moi, si je dors 8 heures pile je suis 10 fois moins alerte que si je dors 3 heures. Je l’ai vérifié des dizaines de fois.

    En gros, chaque personne peut pratiquer le sommeil polyphasique sans aucune autre méthode que de l’observation et des tests.

    Mais je m’égare.

    -Qu’est-ce que le fait de bloguer vient nourrir d’important chez toi aujourd’hui ? Quelle(s) valeur(s) importante(s) pour toi le blogging vient-il combler par exemple ?

    Je ne sais pas vraiment.

    Je pense que le blogging est avant tout une discipline égocentrique. Parce qu’on parle beaucoup de soi. De ce qu’on fait. De ce qu’on aime. De ce qu’on voudrait.

    Je ne déroge pas à la règle : J’aime bien parler de moi – comme tout le monde.

    Après, j’essaye, au travers de mon blog et de mes articles, d’apporter quelque chose d’utile et de pratique au monde. Et de fédérer une communauté de fidèles, qui sont intéressés par les mêmes choses que moi.

    Avec le recul, je m’aperçois également que le blogging, si on le pratique sérieusement, sert aussi à s’enrichir au niveau intellectuel, émotionnel, et culturel.

    Et cela permet aussi de nouer de solides relations avec d’autres personnes.

    Des relations sympas, parce que lorsqu’on écrit, on se livre. On laisse une partie de soi-même à la disposition d’autres personnes.

    Alors forcément on se fait beaucoup d’amis. Car certaines personnes t’aiment beaucoup parce que ce que tu écris résonne en eux de manière spéciale.

    Et elles se découvrent alors un lien « spécial » avec toi.

    Parfois même, ce lien devient si fort que… Bref… Le blogging rapproche les personnes.

    Et ça, si tu veux mon avis, c’est un dessein bien plus sympa que tous ceux qu’on essaye de nous « imposer » quand on parle de créer un blog.

    -Comment abordes-tu une journée de travail ? As-tu des rituels, des choses que tu fais chaque jour à la même heure ? As-tu systématiquement planifié ce que tu vas faire, ou te laisses-tu guider par le feeling ?

    Je ne planifie jamais rien.

    Quand tu te couches le soir et que tu te lèves le lendemain pour t’apercevoir que tu es en train de mourir, ça te guérit un peu de la planification.

    En gros j’aime vivre au jour le jour. Je ne prévois que les rencontres avec d’autres personnes et ce qui demande un minimum d’organisation obligatoire (hôtels, restaurants, voyages,  etc…)

    Donc je n’ai pas vraiment de journée type. Il y a des jours où j’aime ne rien faire, et d’autres où j’aime faire des tonnes de trucs. Dans le désordre. Je me force rarement à faire quelque chose, même si parfois ça me met dans des situations délicates.

    -Peux-tu nous citer 5 choses que tu fais quand tu es en vacances ?

    Facile :

    –       Je dors

    –       Je lis

    –       Je cuisine

    –       Je regarde des séries

    –       Je mange comme un cochon

    Et pas forcément dans cet ordre !

    Puisque les desserts ne sont pas trop ton truc, quel est ton plat préféré ? Et en vin ? Plutôt blanc ou rouge ?

    Mon plat préféré, c’est la langue de bœuf sauce piquante avec une purée maison.

    Je ne bois pas d’alcool (du tout) donc je ne bois pas de vin (du tout). La boisson que je préfère c’est le Coca Cola (le vrai de la vraie marque), ou à défaut l’eau pétillante (San Pellegrino de préférence) parce que mon ventre n’aime pas le Coca.

    -À un copywriter « tout neuf », un grand débutant, quelle est LA qualité que tu lui conseillerais d’apprendre à cultiver pour exceller dans le domaine ?

    S’il ne faut en citer qu’une seule, alors je dirais la curiosité bien sûr.

    C’est ce qui permet de trouver des idées neuves et originales. Pour cela, il suffit de prendre quelques habitudes :

    Apprendre à relever en tout temps et en tout lieu ce qui pourra – éventuellement – servir plus tard pour une lettre de vente. Et donc se balader avec au minimum un dictaphone, mais au mieux avec un carnet pour noter ce qui doit l’être.

    Et ne pas hésiter à arracher des pubs dans les magazines qu’on trouve chez le médecin par exemple (je le fais tout le temps).

    Ouvrir également son esprit à toute forme de culture et à toute forme d’apprentissages. Même et surtout ceux qui vont à contre courant de ce que l’on sait déjà. Ca élargit les perspectives. Ca ouvre d’autres chemins. C’est bien souvent salutaire.

    Et lire énormément aussi. Des biographies, des livres d’histoires, des contes, des fables, des histoires vraies, des anecdotes, et des exemples de réussites d’entreprises (c’est ce qui me sert le plus dans mon métier).

    Plus on connait d’histoires, et plus nos textes intéressent les gens. C’est ce qui met du piment dans une lettre. C’est ce qui lui donne du relief, de la vie.

    Bref, il faut lire beaucoup pour pouvoir écrire bien. Et il faut rester à l’affût de ce qui se passe.

    Ca va de pair avec la curiosité 😉

    -Tu vis aujourd’hui entièrement d’internet et tu possèdes plusieurs sites : te fixes-tu des objectifs financiers chaque année ? Augmentent-ils avec le temps ?

    Non je ne me fixe pas vraiment d’objectifs financiers annuels. Ce sont plus des objectifs de réalisations. Qui me motivent bien plus.

    Je ne suis pas vraiment motivé par l’argent, si ce n’est que j’en ai besoin pour accomplir tout un tas de choses. Alors bien sûr, on me dira que sans objectifs financiers, point de profit.

    Et à cela je répondrai que ceux qui se fixent des objectifs financiers perdent alors près de 90% de leurs ressources mentales qui se focalisent sur un moyen plutôt que sur une finalité.

    Mes objectifs (et mes revenus) n’augmentent pas vraiment avec le temps, parce que je ne cours pas après un capital. Et cela ne me fait absolument pas envie d’en avoir plus. J’aime l’idée de « gagner » ce dont j’ai vraiment besoin, sans avoir à trop travailler ou à trop faire des trucs que je n’aime pas.

    Donc mon CA est relativement stable depuis 3-4 ans, et ça tourne aux alentours de 120.000 euros par an… Ce qui me suffit largement 😉

    -Penses-tu qu’un jour le Web sera complètement dépassé ? Pour toi, ce jour est-il plutôt proche ou lointain ?

    Ca me parait difficile de l’imaginer.

    A moins qu’il n’y ait plus d’électricité sur la planète ce qui est par contre une réalité bien plus envisageable. Il faudrait donc trouver d’autres formes d’énergies (on sait déjà comment faire) ou alors d’autre manières de produire de l’électricité.

    -Enfin, pour la route : si tu ne devais en choisir qu’UNE, et UNE seule, quelle serait LA réplique mythique du Dîner de cons que tu conserverais ?

    Facile, çà 😉 …

    – Pierre ? J’en tiens un…
    – Comment est-il ?
    – Un champion du monde !

    -Merci mon cher Yvon, d’avoir pris du temps pour te livrer comme cela.

    21 commentaires

    1. Salut cher Greg

      Merci à toi pour avoir déclenché cet interview et pour tout le reste.

      Au plaisir de se revoir bien vite.

      Bonne journée

      Yvon

    2. Ah mais je te rejoins tellement sur ton rythme de sommeil. J’ai fait le même constat et il est clair que maintenant quand je me réveille naturellement à 5h00 je ne tente plus de me rendormir car je sais que le réveil va sonner 1h00 plus tard et dans ce cas il sera très difficile de me lever … du coup j’en profite pour aller courir ou faire un peu de lecture au calme.

      Merci à vous deux pour cette interview qui permet d’en savoir un peu plus. Maintenant je file sur le blog d’Yvon … :)

    3. Merci pour ce bel interview. Mais j’ai mal compris cette histoire de cycle du sommeil. Comment sait-on que son cycle de sommeil est d’une heure et demi ou plus ou moins? Et pourquoi pas 3 ou 4 cycles plutôt que 2? Bref, comment on arrive à savoir ce qui est le mieux pour soi? Merci d’avance pour toutes ces réponses.

      • Bonsoir Sandra

        Il suffit de noter avec précision les heures auxquelles tu t’endors (pas celles auxquelles tu te couches) et les heures auxquelles tu te réveilles naturellement (sans réveil).

        Quand tu l’auras fait une cinquantaine de fois, alors la durée de tes cycles sera évidente…

        Le nombre de cycles est peu important en fait. Ce qui est important c’est que quelle que soit la durée de ton sommeil, tu puisses avoir la pêche quand tu te réveilles.

        Tu peux aussi tester de dormir par exemple 1 heure et demie (et donc mettre ton réveil en conséquence) et voir comment tu te sens.

        Si cela ne passe pas ou si tu te sens dans le cirage alors rééssaye le lendemain avec 1 heure 20, ou 1 heure 40. et observe (ça t’empêche pas de te rendormir ensuite hein, c’est juste pour voir comment tu te sens après un cycle précis).

        Bref il y a plein de moyens pour mesurer ses cycles.

        Bonne soirée

        Yvon

    4. Coucou Greg,

      Alors comme ça Yvon arrache les pages des magazines chez le médecin…. rhoooooooo décidément, on en apprend tous les jours… :) ha ha ha

      Vraiment passionnante cet interview, en tout cas. Tu as su trouver des questions de fond et peu communes. Je reconnais bien là ton talent pour révéler les « êtres ».
      Et bravo à Yvon pour s’être livré ainsi, j’imagine que ça ne doit pas être facile.
      En parlant de se livrer… je reste quand même sur ma fin… Entre l’événement dont il ne parlera pas, celui qui n’a pas grand intérêt et celui qui vient juste d’arriver…. heu… je confirme c’est vague (m’est avis qu’on engage un paparazzi ha ha ha).

      Un grand merci à toi Greg, pour cet interview, ce blog, ta générosité et la grande qualité de ton travail de formateur.
      Une très bonne journée

      • Merci pour ce beau témoignage cher Claire,

        Je comprends ta frustration… Yvon nous donne quelques pistes puis… nous embrouille encore un peu plus.

        Pour le paparazzi, c’est une idée intéressante. Si seulement nous savions où Yvon se cache !

    5. bonjour
      merci pour cette interview tres interessante et des reponses originalea quant a l’art de vivre…( et dormir…) d’un copywriter……france de vouloiretreussir

    6. Salut,

      C’est vrai que la curiosité reste une bonne qualité, je ne vois pas comment on peut dire que ce soit un défaut lorsqu’il s’agit de toujours savoir plus. Puis c’est rassurant de savoir que l’on est pas seul à vivre autrement que Monsieur tout le monde, bref, superbe article.

    7. Merci Greg et Yvon pour cette interview. Pour suivre le blog de Yvon, je trouve que c’est super intéressant de voir le côté perso d’UN personnage.

    8. Bonsoir,

      Merci Yvon, je suis heureuse d’avoir lu cette interview et surtout d’avoir eu un éclaircissement par rapport au fait que tu ne planifies jamais rien et que tu vis au jour le jour.

      En effet, j’ai déjà lu à maintes reprises sur les blogs de webmarketing que pour réussir en blogging et générer des revenus, il faut suivre tous les jours un rythme bien précis. J’ai même lu un article sur la journée type du blogueur de A à Z :)))

      Et depuis toujours, je suis totalement contre ce principe!

      C’est comme pour les croyances, à force de lire tout le temps la même chose, on finit par se poser des questions, s’il ne faut pas se remettre en question sur notre propre méthode de travail…

      A chacun d’avancer à son rythme pour atteindre son équilibre personnel. Parce que faire de sa vie des journées type, c’est le meilleur moyen de rendre le blogging lassant et ennuyeux. J’aime me sentir libre de travailler quand je veux et pouvoir faire d’autres choses à d’autres moments.

      Donc ça me « rassure » quelque part de lire cela de la part de quelqu’un comme toi, Yvon, qui a très bien réussi en procédant de cette manière.

    9. Merci à toi Greg d’avoir levé un coin du voile de mystère qui planait sur Yvon!

      Je confirme que blogguer permet de faire de magnifiques rencontres : je n’en veux pour preuve que celle que j’ai faite avec toi grâce au blog d’Yvon!

      Donc merci Yvon de m’avoir fait rencontrer Greg!

    10. Salut Yvon, salut Greg,

      Agréable d’en apprendre un peu plus que ce que l’on sait déjà.

      Parce que c’est vrai qu’à force de te lire on sait déjà pas mal de choses :-) .

      Donc, tu prends de l’âge, pfuuu, jeunot va;

      Et tu dors 3h par nuit. Avec des journées de 21 heures ça ne m’étonne pas que tu puisses faire le paresseux.

      Après 10 heures de travail acharné (dur pour un paresseux) tu as encore 11 heures pour te préparer tes bons petits plats, les manger, les digérer et créer un blog sur les recettes.

      Une petite réflexion: pour un copywriter, c’est pas étonnant d’aimer la langue!

      Purée, elle manque pas de piquant celle-là.

      Et si je comprends bien pour gagner sa vie sur le net dan le futur il vaut mieux apprendre à pédaler qu’à écrire (pour faire tourner la dynamo).

      Bon, je n’ai pas de lunettes bioniques qui m’envoient des idées géniales toute la journée (c’est pour ça qu’on ne te voit jamais sans?) et je n’ai que 14 heures de travail, donc j’y retourne.

      @+les jeunes.
      Christian.

    11. Merci beaucoup Grégory pour ces questions à la fois subtile et judicieuse.
      Merci à Yvon pour ta générosité. J’ai le sentiment d’avoir appris autant dans cette interview que dans tes articles techniques… Content aussi d’en savoir plus sur toi qui reste encore bien énigmatique ! 😉
      Au plaisir.

      • Je t’en pris Florent.

        C’est vrai que la vie d’Yvon conserve encore une grande part de mystère…

    12. Bonjour

      Excellentes ces questions, ça donne en résultat une interview vraiment dynamique et intéressante.

    13. joe

      Merci pour cette interview très intéressante. Par contre dormir 3 heures quand on a un travail de force, dur dur… mais je vais quand même essayer de trouver mon cycle de sommeil. Merci

    14. Coucou Greg,

      Je m’étonnais de ne pas recevoir la notification de la suite de l’article sur Yvon, mais Oups, je viens de m’apercevoir avec stupéfaction que je n’étais pas inscrite à ta news. Oubli réparé !

      Merci encore à toi l’homme qui augmente son pourvoir en marchant pour ce super interview de l’homme qui ne dormait que 3 heures par nuit.

      Bonne journée Greg

      • Coucou Marie-Do,

        Merci pour ton inscription alors, et surtout, une méga BIENVENUE à toi chez les Virtuoses :-)

        Vis une belle journée également, et à tout bientôt !

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