Comprendre la loi de l’attraction grâce aux animaux : Une histoire d’enfant et de rat (4/4)

  • Dans l’article précédent Comprendre la loi de l’attraction grâce aux animaux : Une histoire de Puces (3/4), nous nous demandions si notre cerveau à nous, les humains, était si différent de celui des animaux. En matière de conditionnement bien sûr.

    Car peut-être avez-vous trouvé bien stupides le Brochet ou l’éléphant, qui se laissent bêtement mourir. Alors que la solution a leur problème était simple.

    Mais pensez-vous que les comportements de ces animaux soient si éloignés de notre fonctionnement ?

    Et si vous fonctionniez exactement de la même façon… ?

    Jerry Clark ne s’arrêtent pas aux histoires d’animaux. Dans son programme « Créer la magie », il poursuit avec des histoires sur les humains.

    Étude avec les humains

    Abandonnons aujourd’hui les exemples purement animaliers pour nous rapprocher des humains. Et du conditionnement humain.

    Ce sera le dernier exemple pour illustrer une idée que vous avez certainement déjà saisie en lisant les histoires précédentes.

    Vous l’avez bien saisie n’est-ce pas ?

    C’est l’idée que vous conditionnés par certains apprentissages. Souvent, ces apprentissages vous servent bien sûr. Mais bien souvent aussi, ces apprentissages vous nuisent. Et ce sont eux qui, probablement, freine l’efficacité de la loi de l’attraction lorsque vous vous en servez.

    John Broadus Watson et Marjorie Ray en ont apporté une belle démonstration. Je vous l’explique dans 10 secondes.

    Avant cela, une précision s’impose.

    Il faut en effet rappeler que vous êtes tous nés avec deux grandes peurs primales :

    – la peur des grands bruits soudains

    – la peur de tomber.

    Ces deux peurs sont profondément inscrites dans votre cerveau profond.

    Voici à présent l’expérience.

    L’expérience

    John Watson et Marjorie Ray donc, choisirent un enfant. Appelez-le Kido. Cet enfant était habitué à jouer avec des rats de laboratoire.

    Les scientifiques décident de montrer un rat blanc à l’enfant. Dès qu’il le voit, l’enfant se met à sourire.

    Puis, un jour, en même temps qu’ils lui font voir la petite bête, ils font retentir un grand bruit soudain dans la pièce.

    L’enfant, effrayé, se met à pleurer.

    Les expérimentateurs répètent plusieurs fois le processus : le rat blanc est mis dans le champ visuel de Kido et un grand bruit retentit.

    A chaque fois, l’enfant se met à pleurer.

    Au bout de moment, ils cessent de faire le grand bruit et montrent le rat blanc à Kido. L’enfant se remet immédiatement à pleurer.

    Pour son cerveau, l’animal est désormais fortement associé au grand bruit. C’est ce qu’on appelle un ancrage. Plutôt désagréable dans ce cas.

    Dans le prochain article, vous découvrirez combien cette expérience – et les histoires précédentes – vont vous êtres utiles pour nous reprogrammer. En mode succès.

    Lisez : Ce blog n’est pas un Zoo. Epilogue sur la loi d’attraction, les histoires d’animaux et les croyances limitantes

    1 commentaire

    1. Bertrouf

      Ah oui, comme moi avec les araignées. Je n’étais pas arachnophobe, mais à force d’entendre ma maman crier à chaque fois qu’elle en voit une pour que je vienne l’écraser, j’ai fini par associer dans ma tête le cri avec l’araignée.
      Du coup, maintenant, quand je vois une araignée, j’ai comme un frisson.

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