Les 3 clés du succès qui amènent plus de réussite que les autres
Par Grégory Grand | 17 commentairesIl est temps aujourd’hui de terminer deux articles commencés il y a peu sur la thématique des clés du succès.
(si vous ne les avez pas encore lus, cliquez sur Steve Jobs a-t-il réellement eu du succès ?)
Le succès est bien sûr un vaste sujet.
Jack Canfield a même écrit une bible de 576 pages sur le sujet : Le Succès selon Jack.
Il y a donc beaucoup à dire.
Mais résumons tout cela en quelques mots : voici les 3 composantes à mon avis fondamentales de la réussite. Les 3 clés du succès.
1) savoir construire la représentation de ce que je veux
2) me mettre en marche pour l’obtenir
3) savoir le vivre, l’apprécier et l’entretenir au quotidien
Mettez-vous en pratique ces 3 clés du succès ?
1) Savoir construire la représentation de ce que je veux
Pour choisir et construire la représentation de ce que vous voulez, il vous faut savoir ce que vous voulez.
Comme le disait merveilleusement Alan Kay : « La meilleure façon de déterminer votre avenir, c’est de l’inventer ».
En effet, comme le dit aussi très bien Grégory Grand 😀 : « si vous ne savez pas ce que vous voulez, comment voulez-vous l’obtenir » ?
Une fois que vous savez où vous allez, alors, vous pouvez mobiliser votre esprit pour imprégner cette destination dans votre subconscient (que cette destination soit une situation financière, des relations épanouissantes, le travail de vos rêves, etc.)
Je vous renvoie ici à ma série d’articles sur la loi de l’attraction et l’apprentissage de la visualisation.
Ceci fait, il faut :
2) Se mettre en marche pour l’obtenir
La chose qui va aider à ce stade, c’est de trouver votre « Pourquoi ».
Pourquoi est-ce important pour vous d’avoir du succès ?
Quelles sont les choses essentielles, vitales même, qui vont être nourries et comblées si vous atteignez cet objectif ?
Vous devez faire de l’atteinte de cet objectif une absolue nécessité.
C’est Nietzsche qui écrivait que « si vous pouvez trouver un pourquoi, vous pourrez endurer n’importe quel comment ».
Pour quelqu’un comme moi, c’était ici l’étape la plus délicate.
J’ai vraiment des facilités lorsqu’il s’agit de concevoir des théories, d’imaginer des projets et d’être créatif, mais les incarner dans la réalité me demande plus d’effort. Là était ma faiblesse.
Heureusement, l’univers m’envoie constamment des alliés qui me poussent à passer à l’action.
Si ça n’avait pas été le cas par exemple, je n’aurais toujours pas donné mon 1er séminaire aujourd’hui.
Si ça n’avait pas été le cas, je ne me serais pas autant investi dans ce Blog (Archi je sais que tu me lis 😉 ).
Heureusement, l’action appelle l’action, et lorsque vous franchissez cette petite peur qui vous bloque, alors vous grandissez.
Et vous en redemandez encore. Et encore.
Une fois en chemin, il s’agit alors de :
3) Savoir vivre, apprécier et entretenir votre succès
Le succès, vous le choisissez en définissant vos objectifs à long, moyen et court terme, mais aussi et surtout par la façon dont vous vivez la vie au quotidien.
Savoir-vivre votre succès au quotidien, c’est savoir vous féliciter pour le chemin parcouru.
C’est, de temps en temps, arrêter de regarder droit devant vers votre objectif, et vous retourner vers l’arrière, pour voir d’où vous êtes parti et combien vous avez avancé.
Pour conclure
Quoi que vous fassiez dans votre vie, il y aura toujours des contraintes, toujours.
Pensez aux films que vous regardez : dès que le héros se met en recherche de quelque chose et décide ce qu’il va faire, surgit alors… ?
Un adversaire, et des obstacles.
C’est là tout le processus d’épanouissement de la vie.
Vous démarrez un blog ? Survient le problème de la technique.
Vous voulez vendre votre 1er produit ? Voilà qu’il faut s’initier au copywriting et rédiger une page de vente.
Après tout, imaginez un film ou un roman où tout se passe bien dès le début… où tout marche parfaitement, où tout le monde s’aime, où tout est facile… il n’y aurait pas d’histoire !
Votre succès tient donc dans votre capacité à composer avec les contraintes de votre environnement, et à les considérer non plus comme des contraintes, mais comme des opportunités.
Des opportunités qui justement vont vous permettre de vous épanouir.
Pour conclure, laissons la parole à Jim Rohn qui illustre parfaitement le propos : « vous devez admettre votre responsabilité personnelle. Vous ne pouvez modifier les circonstances, les saisons ou le vent, mais vous avez le pouvoir de changer ».
Verriez-vous des compléments à apporter à mes trois étapes du succès ?
Crédit photo : freedigitalphotos.net
Hello Greg,
Un numéro 4 peut-être?!
– Ne pas s’inquiéter des moyens qui doivent être mis en oeuvre. Pour faire simple, j’ai envie de dire qu’une fois que les 3 étapes que tu décris sont intégrées, il n’est pas nécessaire de trop se positionner dans l’analyse de notre parcours.
Analyser, oui, mais en fin de projet, comme tu le préconises.
Le fait de réfléchir aux moyens c’est se limiter de manière inconsciente.
Il m’est arrivé de me demander pourquoi j’étais sur la bonne voie d’un projet. Cela ne m’a apporté que de la passivité voire de la procrastination.
Alors, ne vous regardez pas courir, juste courez…Merci Nike
Salut Olivier,
Oui tout à fait, je suis entièrement d’accord avec toi : il ne faut pas trop se préoccuper de savoir comment on va parvenir à notre succès.
Ça, c’est la magie de l’inconscient qui va opérer.
C’est pour cela qu’au départ, quand j’accompagne des personnes sur la mise en place de leur vie idéale, il est exclu de travailler sur le comment.
Ton point numéro 4, en réalité il appartient pour moi au 1er point que je développe.
Et tu fais bien de l’exprimer explicitement, car mon article offre 1 point de vue général : cela m’obligeait à synthétiser, c’est 1 bon exercice pour moi car je pourrais écrire 20 pages sur chacun des 3 points 😉
Bonjour,
Merci pour ce rappel et cet excellent article.
Comme je suis passionné par la loi d’attraction. J’utilise la visualisation créatrice et l’image mentale afin de créer ce que je veux réellement dans la vie.
Ensuite cela ne suffit pas, je passe à l’action chaque jour et je persévère encore et encore. La persévérance est le secret du succès.
Ensuite tenir compte de ses échecs, pour modifier ses actions, afin de se diriger vers ses objectifs.
Et pour terminer pratiquer la gratitude le plus fréquemment chaque jour, pour chaque instant merveilleux de la vie!
Gilbert
Salut Gilbert,
La visualisation créatrice est effectivement extrêmement puissante.
Mais beaucoup font l’erreur de s’y arrêter : elle n’est qu’une étape, absolument indispensable, mais qu’il faut faire suivre de l’action.
Et ensuite, effectivement toujours ajuster la direction, pour ne pas se taper 10 fois la tête dans le même mur !
J’ai écrit un article ultra synthétique qui résume ces étapes dont tu parles : C’est presque trop facile : la methode pour tout réussir
Je n’évoque pas la gratitude dans cet article là d’ailleurs. C’est très important en effet !
Bonjour Greg,
Imaginer son succès en l’intégrant dans le style de vie que l’on veut vivre.
C’est un premier pas vers le pourquoi.
Savoir ce que l’on veut sans savoir pourquoi on le veut est peut-être l’une des premières causes d’abandon d’un projet.
Et de temps à autres poser les pieds sur le bureau pour laisser les idées venir, fait partie de savoir vivre le succès.
Bel article, bonne journée
Jean Paul
Bonjour JP,
Effectivement, le fait de ne pas être porté par 1 passion qui rejoint notre projet est 1 cause fréquente d’abandon.
Je pense que s’il n’y a qu’une volonté de s’enrichir vite par exemple, sans prendre le temps de s’épanouir en chemin, alors la personne fait fausse route.
L’exemple du blogging est d’ailleurs très intéressant à ce point de vue-là : je ne sais plus exactement quel est le pourcentage de blogueurs qui arrêtent après seulement un mois : bien sûr, chacun a son histoire et ses contraintes, mais on peut peut-être penser que ceux qui arrêtent ne sont pas suffisamment portés par 1 pourquoi, 1 MUST absolu.
Merci pour ton passage Jean-Paul, c’est toujours aussi agréable
Salut Greg,
Je tout à fait d’accord sur l’importance de ces 3 clés pour réaliser quelque chose.
Mais quand je regarde mon expérience personnelle, la difficulté a presque toujours été de définir correctement « cette chose que l’on veut ». Connais-tu des outils/exercices/livres qui permettent de mieux identifier quel est ce projet que l’on veut accomplir?
A plus 😉
Sébastien
Salut Sébastien,
Savoir ce qu’on veut : ah, voilà la question de beaucoup de personnes 😉
J’ai effectivement de bons outils pour aider les gens là-dessus lorsque je les accompagne en coaching.
Le plus facile est de le faire en live ou en direct. Les quelques exercices auxquels je pense nécessiteraient des explications peut-être un peu longues pour 1 article de blog.
Le problème avec les livres, c’est que tu peux les lire mais ne pas forcément faire l’exercice demandé.
Si tu veux on peut se faire un p’tit skype pour que je te donne quelques pistes. Contacte-moi par MP et on se câle 😉
Salut Grégory :
Je suis tout à fait d’accord avec toi.
Les 3 pistes que tu donne la, sont vraiment indispensables pour atteindre le succès.
Je pense qu’avoir un objectif, est aussi important qu’un far pour un bateau. Surtout qu’une idée fixe dans la tête, est une belle obsession qui nous aide d’à réussire nos butes.
Merci pour ces conseils et bonne soirée.
Amicalement,
Jaime.
Salut Jaime,
Merci à toi pour ton commentaire et la comparaison avec le phare qui est effectivement bien trouvée !
Sans destination en effet, on ne va nulle part.
Bonne soirée à toi également,
Grégory
Bonsoir Greg,
J’aime beaucoup cette phrase : « Heureusement, l’action appelle l’action, et lorsque vous franchissez cette petite peur qui vous bloque, alors vous grandissez. »
Quant à l’échec, c’est l’étape indispensable de la réussite. Ce sont les échecs qui nous indiquent la voie à suivre ou plutôt quels sont les mauvais chemins. Réussir c’est donc aussi ne pas s’arrêter à l’échec mais savoir utiliser ses échecs. Car comme tu le dis si justement notre succès est lié à notre « capacité à composer avec les contraintes de notre environnement ». ( décidément, je te paraphrase ce soir… 😉 Tout simplement parce que j’adhère totalement à tes propos. )
Bonne soirée Greg
Salut Claire !
Ben j’aime bien quand tu me paraphrases :-).
Oui, l’échec est important. D’ailleurs, les puristes de la PNL te diront qu’on ne parle pas d’échec (c’est un des présupposés de la discipline : « l’échec n’existe pas »).
Seuls existent les Feedback, les résultats qu’on obtient. Si ceux-ci sont conformes à ce qu’on voulait obtenir = niquel !
S’ils ne le sont pas, alors on a eu un retour sur les choses qui ne fonctionnent pas et on mieux armé pour s’ajuster et faire les choses autrement pour parvenir à notre objectif.
Je ne détaillerai pas ici ce que je pense de ce présupposé. Je le rejoins en grosse partie (mais pas entièrement entièrement). Je trouve tout de même que dans l’ensemble c’est une bonne croyance de vie à adopter pour avancer !
Vis un beau w-end !
Bien sûr que je te lis! 😉
Longue vie à toi Virtuose de la Vie! et merci pour tous ces conseils que tu nous prodigues!
You freaking…. rock ! 😀
Je pense que c’est pour cela que le correcteur d’orthographe est anglais 😀
PS : Merci énormément pour cet article !
Bonsoir Grégory
Je le trouve absolument terrible cette phrase de Nietzsche « si vous pouvez trouver un pourquoi »…je rajouterai, et si vous ne le trouvez pas, cherchez-le!
Donner du sens permet de garder un taux vibratoire élevé et de ne pas s’enliser dans les élucubrations du mental.
Bonjour Hannah !
Merci pour ce très beau complément que tu apportes ici.
Car c’est vrai que bien souvent, lorsqu’on accompagne les gens, ils ne connaissent pas leurs propres motivations.
Plus précisément, ils croient (et donc disent) ne pas connaître leurs motivations profondes.
En creusant un peu, ils savent pourtant pertinemment pourquoi ils veulent atteindre tel ou tel objectif.
Effectivement, travailler en profondeur impacte le taux vibratoire, ce qui est beaucoup plus porteur que rester bloqué en haut dans le mental !
Vis 1 belle journée.